Maternal age and miscarriage: A unique association curve in Sudan

This study's aim was to estimate the prevalence and maternal age and other risk factors of miscarriage among Sudanese women. Across-sectional study was conducted at the Saad Abuelela Tertiary Hospital in Khartoum, Sudan, from February to December 2019. Sociodemographic, obstetric and clinical data were collected. A multivariate logistic regression analysis was performed. Four hundred thirteen (20.5%) women reported experiencing a miscarriage. Risk factors included older age, high parity, histories of caesarean delivery, and obesity. Logistic regression showed that the lowest risk for women aged less than 20 years (adjusted odds ratio [AOR], 0.33) or 20 to 24 years (AOR, 0.57), primiparas (AOR, 0.42) and women educated below the secondary level (AOR, 0.78). Unlike the global age-associated risk of miscarriage, the risk of miscarriage among Sudanese women follows a unique curve in relation to maternal age. Interestingly, the curve showed a lower risk for women less than 20 years and at 40 years. (Afr J Reprod Health 2022; 26 [7]: 15-21).

Prevalence and risk factors of repeat pregnancy among South African adolescent females

In the era of HIV/AIDS, repeat pregnancies among adolescents indicate the growing problem of high-risk sexual behavior and the status of reproductive health services. A cross sectional survey was conducted to establish the prevalence and risk factors of repeat pregnancies among South African adolescents. A total of 326 adolescents participated in this study at a district hospital in, KwaZulu-Natal, South Africa from June 2017 to November 2017. Data was analysed using R Software. Out of the 326 adolescents, 19.9% had experienced a repeat pregnancy. The risk factors associated with adolescent repeat pregnancy included a history of spontaneous abortion (p<0.001) and previous contraceptive use (p<0.001). A higher level of education (p<0.001) and emotional support from family (p=0.007) were found to be significant protective factors against adolescent repeat pregnancy. These findings have implications for future interventions aimed at reducing repeat pregnancy among adolescents

Connaissances, attitudes et pratiques des soins après avortement au Centre Hospitalier Universitaire Départemental du Borgou-Alibori

Introduction : L'avortement constitue un problème de santé publique par sa fréquence et la gravité de ses complications. Cette situation a conduit le Bénin à introduire les soins après avortements dans les Soins Obstétricaux et Néonataux d'Urgence. Objectif : Evaluer la connaissance l'attitude et la pratique des soins après avortement auprès des sage femmes et gynécologues de la maternité Cadre et méthode : Etude transversale et descriptive à la Maternité du CHUD-B/A de Février à mai 2016. Seize (16) prestataires dont dix (10) sages-femmes et six (6) gynécologues ont été évalués sur 68 patientes présentant un avortement. Résultats : la fréquence des avortements est de 7,9%. Les avortements spontanés restent les plus fréquents (61,7%). Les prestataires ayant le niveau de compétences théoriques requis sur les SAA représentent 61,7%. L'asepsie est respectée dans 83,8% des cas. L'AMIU reste la méthode d'évacuation utérine la plus utilisée (83,8%) suivie par le Misoprostol (16,2%). L'antibiothérapie et la prévention de l'allo-immunisation sont respectivement pratiquées dans 94,1% et 100%. Le counseling et la planification familiale ont été réalisés dans tous les cas d'avortement. Les services de santé de reproduction dont les patientes ont bénéficié sont : le service de gynécologie (68,1%) ; le dépistage du cancer du col (10,3%) ; le dépistage des IST (50%). L'implication de la communauté s'est faite dans tous les cas de prise en charge d'avortements. Nous n'avons enregistré aucune complication majeure ni aucun décès maternel. Conclusion : la majorité des prestataires ont les connaissances requises par rapport aux SAA. La pratique des SAA à la maternité du CHUD-B/A répond presque entièrement aux normes requises. Cependant certains points importants restent encore à corriger

Avortements spontanés répétés chez une patiente présentant une intervillite chronique histiocytaire placentaire

L'Intervillite Chronique Histiocytaire Placentaire (IVCH) est une affection rare de la grossesse, d'étiologie inconnue. Elle est généralement responsable d'avortement spontané ayant tendance à la répétition. Nous rapportons le cas d'une patiente suivie au Centre Hospitalier de Montélimar (France), pour avortement spontané à répétition. A sa première grossesse, cette patiente a eu une interruption médicale de grossesse à 21 SA pour Retard de Croissance Intra Utérin (RCIU) sévère. L'étiologie a été retrouvée à l'examen histologique du placenta par la découverte de lésions décrites comme une intervillite chronique histiocytaire placentaire (IVCH). Ses 2 grossesses suivantes ont abouti à des morts fœtales spontanées à 16 et 13 SA dans le même tableau malgré les traitements entrepris. Cette observation avait pour objectif de discuter des difficultés de la prise en charge de cette affection responsable d'avortement spontané à répétition

Les déterminants de la fausse couche spontanée précoce

Objectifs : Cette étude vise à identifier les facteurs déterminants de la survenue d'une fausse couche spontanée précoce.Patients et méthodes : Il s'agit d'une étude cas-témoins effectuée à l'Hôpital Universitaire de Gynécologie Obstétrique de Befelatanana (HUGOB) (Antananarivo). Les cas sont constitués par toutes les femmes présentant une fausse couche spontanée précoce avec test de grossesse positif et les témoins sont constitués par des femmes ayant accouché.Résultats : Cette étude a permis de répertorier 75 cas et 150 témoins. La survenue d'une fausse couche spontanée précoce est déterminée significativement par la l'antécédent de fausse couche spontanée (OR = 2,31 [1,23-4,33], les habitudes toxiques (OR = 3,05 [1,17-7,94]), quelques facteurs professionnels à savoir : l'exercice d'une profession demandant un effort physique à 100% (OR = 2,68 [1,42-5,05]), la longue durée de travail dans la journée (> 8 heures) (OR = 3,08 [1,64-5,8]), le nombre de jour de travail dans la semaine (> 5 jours) (OR = 1,79 [0,95-3,38]), la position assise durant le travail (OR = 2,71 [0,97-4,88]).Conclusion : L'encouragement des femmes enceintes à réaliser régulièrement les consultations prénatales et l'amélioration des conditions de travail des femmes enceintes sont nécessaires pour diminuer les risques de la fausse couche spontanée précoce

Spontaneous abortions (miscarriages): analysis of cases at a tertiary center in North Central Nigeria

Background: Spontaneous abortion (miscarriage) is a source of pregnancy loss globally. Its management; especially in low resource countries remains hampered by inadequate facilities for evaluation. Objectives: To assess the clinical presentation; diagnosis; and treatment of cases of spontaneous abortion at a tertiary hospital in Ilorin; Nigeria. Methodology: A descriptive study of all spontaneous abortions (miscarriages) managed at the University of Ilorin Teaching Hospital; Ilorin; Nigeria between January 1; 2007 and December 31; 2011. The records were retrieved from the medical records department and necessary information retrieved. Results: There were 603 miscarriages with a prevalence of 4.2; incomplete miscarriage was the most common 254 (42.1); 356 (59.0) had no identifiable risk factor; 434 (72) of the women were 35 years; 361 (59.9) had first trimester miscarriages; 272 (45.1) were of low parity (Para 0-1) and 223 (37) were having a repeat miscarriage. Of the 141 managed for threatened miscarriage; pregnancy was salvaged in 90 (63.8); 244 (40.5) had surgical evacuation with 100 success rate while 218 (36.2) had medical management with 90.8 success rate. The mean duration of admission was shortest with surgical management (2.03 ? 1.1 days) and post-abortion infection rate was 11 (2.6 success rate. The mean duration of admission was shortest with surgical management (2.03 ? 1.1 days) and post-abortion infection rate was 11 (2.6). Histology confirmed product of conception in 98 and molar gestation in 2 of the samples; no mortality was recorded in this study. Conclusion: More than half of women with miscarriages had no identifiable risk factors mainly due to limitation in facilities for evaluation; there is a need to improve facilities for investigating women with spontaneous abortions in developing countries to identify the causes of the losses

Avortements du premier trimestre au CHU de Dakar: interet de l'aspiration manuelle intra-uterine

L'objectif etait d'evaluer l'interet de l'aspiration manuelle intra-uterine (AMIU) sous anesthesie locale dans la prise en charge des avortements du premier trimestre. Il s'agit d'une etude retrospective concernant toutes les patientes prises en charge au CHU de Dakar par AMIU pour un avortement du premier trimestre entre le 1er janvier 2002 et le 31 decembre 2003. Pendant le periode etudiee; nous avons enregistre 2379 grossesses arretees parmi une population de 14476 entrantes. Dans 1372 cas (57;7) il s'agissait d'avortements du premier trimestre qui ont ete traites par l'AMIU ; pour 87des patientes; la duree d'hospitalisation etait inferieure a 12 heures. Le profil epidemiologique est celui d'une patiente agee en moyenne de 29 ans; paucipare (parite moyenne de 2) porteuse d'une grossesse dont l'age gestationnel moyen etait de 10 semaines d'amenorrhee. Dans 1296 cas (94;4) l'avortement etait spontane; alors que dans 76 cas (5;6) il a ete provoque clandestinement. Aucune complication liee a la procedure n'a ete enregistree et le suivi post-abortum n'a revele aucune morbidite avec un recul d'au moins 1 an. L'AMIU est une methode efficace et sure pour evacuer l'uterus dans les avortements incomplets du premier trimestre. C'est une technique simple qui a ameliore considerablement la qualite des soins apres avortement dans notre pratique

Abortion

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